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Nos lieux d’activité

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Nos lieux d’activité

Tous les quatre ans, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH) fournit une « feuille de route » de ses activités dans le Plan de gestion du HCDH. La feuille de route pour 2018-2021 comprend les six piliers thématiques suivants, qui forment une base solide sur laquelle le HCDH continue de reposer. Ces piliers sont les suivants.

Favoriser l’égalité et lutter contre la discrimination : la montée en puissance des médias sociaux a engendré la propagation de messages haineux qui incitent à la discrimination. Cependant, le Programme 2030 et son engagement de « ne laisser personne de côté » ont créé un élan en faveur de l’égalité et de la non-discrimination. Nous promouvons l’égalité et luttons contre la discrimination.

Améliorer l’application des recommandations formulées par les mécanismes internationaux des droits de l’homme : les activités menées par les organes chargés des droits de l’homme – suivi et analyse des situations des droits de l’homme, interactions avec les États et avec une grande variété de parties prenantes – permettent de déterminer les forces et les faiblesses des lois et des pratiques relatives aux droits de l’homme, et de proposer des réformes. Le soutien que nous apportons aux mécanismes est un élément central de notre travail.

Consolider l’état de droit et le principe de responsabilité concernant les violations des droits de l’homme : les effets néfastes du mépris pour le droit se font ressentir dans les défaillances de la justice et l’impunité face aux crimes, dans les conflits alimentés par les attentes déçues de la population, et dans les régimes oppressifs et échappant à toute responsabilité. Le monde a besoin de systèmes de gouvernance dans lesquels l’ensemble des débiteurs d’obligations ont à répondre de l’observation de lois compatibles avec les règles et normes internationales en matière de droits de l’homme. Nous travaillons avec nos partenaires pour consolider l’état de droit et le principe de responsabilité concernant les violations des droits de l’homme.

Renforcer la participation et la protection de l’espace civique : la participation à la vie publique par les titulaires de droits et les organisations qui les représentent est un principe fondamental des droits de l’homme. La participation améliore également l’efficacité des systèmes politiques, ainsi que l’élaboration et la mise en œuvre des politiques. Nous œuvrons à la protection de l’espace civique et de ceux qui défendent les droits de l’homme.

Prévenir les violations et renforcer la protection des droits de l’homme, y compris dans les situations de conflit et d’insécurité : les violations des droits de l’homme sont à l’origine des conflits et de l’insécurité qui, à leur tour, entraînent invariablement de nouvelles violations des droits de l’homme. Les actions visant à protéger et promouvoir les droits de l’homme ont un pouvoir préventif.

promouvoir le développement durable grâce aux droits de l’homme : les droits de l’homme créent les conditions essentielles à un développement durable. Le Programme 2030 reconnaît que des économies inclusives et participatives, ainsi que des sociétés dont le gouvernement respecte le principe de responsabilité sont plus bénéfiques pour toutes les populations et permettent de ne laisser personne de côté.

Des « évolutions » pour améliorer l’impact en matière de droits de l’homme

Afin d’accroître l’impact en matière des droits de l’homme, nous cherchons à modifier notre approche globale afin d’obtenir plus de cohérence dans tout ce que nous entreprenons, quel que soit l’endroit. À cette fin, dans chacun de nos six piliers, nous mettons l’accent sur quatre domaines d’évolution. Ces changements nous aideront à mieux unifier et concentrer nos efforts d’un pilier à l’autre et au sein de chacun d’entre eux, de sorte à approfondir notre expertise, à renforcer nos partenariats et à augmenter nos résultats en faveur des droits de l’homme.

Ces évolutions comprennent :

  • la protection et l’élargissement de l’espace civique ;
  • la défense des droits de l’homme dans le contexte de questions émergentes, notamment :
    • les changements climatiques,
    • l’espace numérique et les nouvelles technologies,
    • la corruption,
    • les inégalités,
    • les personnes en situation de déplacement ;
  • le soutien à la prévention des conflits, de la violence et de l’insécurité ;
  • le soutien d’un réseau mondial de promotion des droits de l’homme.