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M. Cephas Lumina est titulaire d’un baccalauréat en droit avec mention (LLB with Merit ; Zambie), d’une maîtrise en droit international relatif aux droits de l’homme (LLM ; Essex, Royaume-Uni), d’un doctorat (PhD) en droit international relatif aux droits de l’homme (Griffith University, Australie) et d’un diplôme supérieur en droit international de l’homme (Advanced Diploma in International Human Rights, Université Åbo Akademi, Finlande). Il a plus de vingt-cinq ans d’expérience en matière de pratique juridique, de recherche en droit et d’enseignement du droit dans plusieurs pays, dont l’Australie, l’Afrique du Sud, le Swaziland, la Suède, l’Ouganda et la Zambie. Il a été professeur invité à l’Institut Raoul Wallenberg des droits de l’homme et du droit humanitaire de l’Université Lund, en Suède, chargé de cours invité à l’Université de Makerere (Ouganda), et consultant auprès de diverses organisations (notamment l’Organisation des Nations Unies, l’Organisation internationale de droit du développement, l’Agence canadienne de développement international, l’Agence suédoise de développement international, l’Initiative pour une société ouverte en Afrique australe, le Human Rights Trust of Southern Africa, Women for Change et la Cour d’appel de Tanzanie). M. Lumina a donné de nombreuses conférences, présenté des travaux sur les droits de l’homme lors de plusieurs conférences internationales et publié des travaux dans les domaines des droits de l’homme, du droit humanitaire, du droit commercial et de l’enseignement du droit. Il est membre des comités de rédaction de l’International Human Rights Law Review et de l’African Yearbook of International Humanitarian Law et sert d’arbitre pour plusieurs revues et publications internationales, notamment le Rapport mondial sur la corruption. M. Lumina est avocat près la Haute Cour de Zambie et Professeur extraordinaire de droit des droits de l’homme à l’Université de Pretoria. Il a été nommé Expert indépendant des Nations Unies chargé d’examiner les effets de la dette extérieure et des obligations financières internationales connexes des États sur le plein exercice de tous les droits de l’homme, particulièrement des droits économiques, sociaux et culturels, en mars 2008, et est entré en fonctions en mai 2008. En 2011, son mandat a été prolongé pour trois ans.

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