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Le Conseil des droits de l’homme tiendra le jeudi 24 novembre une session extraordinaire sur la détérioration de la situation des droits de l’homme en République islamique d’Iran
11 novembre 2022
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Le Conseil des droits de l’homme tiendra le jeudi 24 novembre une session extraordinaire sur « la détérioration de la situation des droits de l’homme en République islamique d’Iran ». La session extraordinaire a été convoquée à la suite d’une demande officielle présentée dans la soirée de vendredi dernier, 11 novembre, par l’Allemagne et l’Islande, et soutenue à ce stade par 44 pays.
La convocation d’une session extraordinaire du Conseil exige le soutien d’au moins 16 États membres du Conseil, soit un tiers des 47 membres de cette instance. A ce stade, la demande de convocation de cette session extraordinaire a été soutenue par les 17 membres du Conseil ci-après : Allemagne, Argentine, États-Unis, Finlande, France, Iles Marshall, Japon, Lituanie, Luxembourg, Mexique, Monténégro, Paraguay, Pays-Bas, République de Corée, République tchèque, Royaume-Uni, Ukraine.
La demande de convocation a également été soutenue par les 27 États observateurs suivants : Albanie, Andorre, Australie, Autriche, Belgique, Bulgarie, Canada, Chili, Chypre, Colombie, Costa Rica, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Irlande, Islande, Lettonie, Liechtenstein, Malte, Monaco, Norvège, Nouvelle-Zélande, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Suède.
La liste des États signataires restera ouverte jusqu’à la tenue de la session extraordinaire.
Cette trente-cinquième session extraordinaire du Conseil – la deuxième de l’année – se tiendra le jeudi 24 novembre à partir de 10 heures dans la salle XX du Palais des Nations à Genève. Les débats seront diffusés en direct sur webtv.un.org (webcast).
En vue de la tenue de cette 35ème session extraordinaire, le Conseil tiendra une réunion d’organisation mercredi 23 novembre, à 15 heures.
Ce document produit par le Service de l’information des Nations Unies à Genève est destiné à l'information; il ne constitue pas un document officiel. Les versions anglaise et française de nos communiqués sont différentes car elles sont le produit de deux équipes de couverture distinctes qui travaillent indépendamment.