Communiqués de presse Conseil des droits de l’homme
LE CONSEIL DES DROITS DE L'HOMME TIENT UNE SESSION EXTRAORDINAIRE SUR L'IMPACT DE LA CRISE ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE MONDIALE
17 février 2009
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Conseil des droits de l'homme
COMMUNIQUÉ DE BASE 17 février 2009
Le Conseil des droits de l'homme tiendra, le vendredi 20 février, une session extraordinaire consacrée à l'examen de «L'impact de la crise économique et financière mondiale sur la réalisation universelle et la jouissance effective des droits de l'homme». La session se tiendra dans la salle XVII du Palais des Nations à partir de 10 heures.
La session extraordinaire est convoquée à la demande de l'Égypte au nom du Groupe africain et du Brésil et a été appuyée, à ce jour, par les 26 États membres suivants du Conseil: Afrique du Sud, Angola, Arabie saoudite, Bahreïn, Bangladesh, Bolivie, Brésil, Burkina Faso, Chili, Chine, Cuba, Djibouti, Égypte, Fédération de Russie, Gabon, Ghana, Inde, Indonésie, Jordanie, Malaisie, Nicaragua, Nigéria, Pakistan, Philippines, Qatar et Uruguay. La majorité requise pour la tenue d'une session extraordinaire est de 16 membres, soit le tiers des membres du Conseil, composé de 47 membres. Les États observateurs suivants ont également appuyé cette demande : Algérie, Bénin, Bhoutan, Burundi, Colombie, Congo, Émirats arabes unis, Équateur, Guinée équatoriale, Kenya, Koweït, Libye, Népal, Niger, Panama, Tanzanie, Tunisie, Ouganda, Venezuela et Yémen. Conformément aux règles établies par le Conseil, la liste des États appuyant la tenue des sessions extraordinaires reste ouverte à signature jusqu'à la tenue de la réunion.
Dans leur demande adressée au Président du Conseil, les initiateurs de cette convocation estiment que la session extraordinaire devrait être l'occasion de souligner la nécessité d'examiner la crise économique et financière selon une approche fondée sur les droits de l'homme, d'exprimer les préoccupations liées aux mesures prises face à la crise et de prendre en compte les droits de l'homme dans le cadre des processus de prise de décision.
Il s'agira de la dixième session extraordinaire du Conseil des droits de l'homme. Les précédentes ont porté sur les situations des droits de l'homme dans le territoire palestinien occupé, au Liban, au Darfour, au Myanmar et en République démocratique du Congo, ainsi que sur la crise alimentaire mondiale.
D'autres informations ainsi que la documentation concernant la session extraordinaire seront disponibles sur la page internet du Conseil (http://www2.ohchr.org/french/bodies/hrcouncil/).
__________
Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas un document officiel
COMMUNIQUÉ DE BASE 17 février 2009
Le Conseil des droits de l'homme tiendra, le vendredi 20 février, une session extraordinaire consacrée à l'examen de «L'impact de la crise économique et financière mondiale sur la réalisation universelle et la jouissance effective des droits de l'homme». La session se tiendra dans la salle XVII du Palais des Nations à partir de 10 heures.
La session extraordinaire est convoquée à la demande de l'Égypte au nom du Groupe africain et du Brésil et a été appuyée, à ce jour, par les 26 États membres suivants du Conseil: Afrique du Sud, Angola, Arabie saoudite, Bahreïn, Bangladesh, Bolivie, Brésil, Burkina Faso, Chili, Chine, Cuba, Djibouti, Égypte, Fédération de Russie, Gabon, Ghana, Inde, Indonésie, Jordanie, Malaisie, Nicaragua, Nigéria, Pakistan, Philippines, Qatar et Uruguay. La majorité requise pour la tenue d'une session extraordinaire est de 16 membres, soit le tiers des membres du Conseil, composé de 47 membres. Les États observateurs suivants ont également appuyé cette demande : Algérie, Bénin, Bhoutan, Burundi, Colombie, Congo, Émirats arabes unis, Équateur, Guinée équatoriale, Kenya, Koweït, Libye, Népal, Niger, Panama, Tanzanie, Tunisie, Ouganda, Venezuela et Yémen. Conformément aux règles établies par le Conseil, la liste des États appuyant la tenue des sessions extraordinaires reste ouverte à signature jusqu'à la tenue de la réunion.
Dans leur demande adressée au Président du Conseil, les initiateurs de cette convocation estiment que la session extraordinaire devrait être l'occasion de souligner la nécessité d'examiner la crise économique et financière selon une approche fondée sur les droits de l'homme, d'exprimer les préoccupations liées aux mesures prises face à la crise et de prendre en compte les droits de l'homme dans le cadre des processus de prise de décision.
Il s'agira de la dixième session extraordinaire du Conseil des droits de l'homme. Les précédentes ont porté sur les situations des droits de l'homme dans le territoire palestinien occupé, au Liban, au Darfour, au Myanmar et en République démocratique du Congo, ainsi que sur la crise alimentaire mondiale.
D'autres informations ainsi que la documentation concernant la session extraordinaire seront disponibles sur la page internet du Conseil (http://www2.ohchr.org/french/bodies/hrcouncil/).
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Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas un document officiel
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